Le charme de la cuisine d’autrefois, donc de toujours. Où l’on retrouve le plaisir de tremper une frite dans une sauce à base de moutarde à se damner… Là où se baigne ce poulet dit « Rosalie », spécialité familiale de de la maison. C’est un régal : en abuser sans modération ! L’entrée de l’ardoise était adaptée avec finesse à la chaleur estivale du jour. Le décor est dans le même jus si je puis dire, que les plats, astucieusement agencé avec recoin et mezzanine. La patronne met tout de suite le client à l’aise. Pas gastronomique, mais c’est un grand bistro parisien qui maintient les traditions et où l’on se sent bien. En soirée et trop tard pour le menu, l’addition est montée, mais il faut savoir se faire plaisir.